Elevage
Quand le robot veille aux gains
Le GAEC de la Fergonnière, à cheval entre Bazouges-Cré/Loir et La Flèche, est équipé d’un robot DeLaval VMS V310 depuis un an et demi. A l’occasion d’un Robot Day’s, retour sur sa mise en route et ses différents gains: moins d’astreintes ingrates et plus de productivité.
Le GAEC de la Fergonnière, à cheval entre Bazouges-Cré/Loir et La Flèche, est équipé d’un robot DeLaval VMS V310 depuis un an et demi. A l’occasion d’un Robot Day’s, retour sur sa mise en route et ses différents gains: moins d’astreintes ingrates et plus de productivité.
Quand elle nous reçoit dans le bâtiment de traite, Christina, la maman, est tout sourire. Un an et demi après l’installation du robot DeLaval, la maman, le bilan est sans appel: “Y a pas photo! Il y a beaucoup plus d'avantages que d’inconvénients. ” En novembre 2021, la famille Jocher a franchi le pas pour trois raisons: “ Un projet d’augmentation de quota avec l’installation de notre fils Valentin, une vieille salle de traite saturée et nos… épaules. Après trente ans de traite classique, pour rien au monde, je ne repartirais en arrière.” Moins de pénibilité, des horaires plus souples et bien sûr une productivité en hausse de 200 000 litres (de 500 000 à 700 000 litres) annuels avec autant de vaches (soixante-deux Normandes). Soit environ cinq kg/j de lait en plus.