La Cuma, un modèle
pour d'autres domaines
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Eleveuse de volailles à La Chapelle-Saint-Rémy, Corinne Rottier porte d'autres casquettes au sein de Cuma locales mais aussi régionales.


Comment êtes-vous venue à l'agriculture ?
Par mon mari Olivier, installé en 1998, en hors-cadre familial. En 2001, à 23 ans, j'ai quitté mon poste de secrétaire de direction à Leclerc au Mans. La mentalité ne me convenait pas du tout. Contrairement à celle de l'agriculture. Olivier avait alors deux poulaillers de Loué et des truies en plein air et j'ai commencé comme conjointe-collaboratrice. Sans formation, j'ai bifurqué assez facilement dans ce métier. Aujourd'hui, nous avons quatre bâtiments de volailles de Loué avec poulets (5 200 par bâtiment) et dindes/dindons (2 500 par bâtiment). Après des moments difficiles, les vides sanitaires sont beaucoup moins longs.
Quelle était votre vision des Cuma ?