Volailles festives
Et si vous tentiez le chapon de pintade ?
Derrière la dinde, la pintade chaponnée s’invite en outsider savoureux sur les tables de réveillon. Rencontre avec l’éleveuse de Loué Edith Armange du Gaec du Ronceray à Brûlon.
Derrière la dinde, la pintade chaponnée s’invite en outsider savoureux sur les tables de réveillon. Rencontre avec l’éleveuse de Loué Edith Armange du Gaec du Ronceray à Brûlon.
Derrière la dinde, la pintade chaponnée s’invite en outsider savoureux sur les tables de réveillon. Rencontre avec l’éleveuse de Loué Edith Armange du Gaec du Ronceray à Brûlon. Dinde ou chapon? C’est l’habituel casse-tête des fêtes de fin d’année. Et si vous tentiez le chapon de pintade, moins connu mais à la fois moelleux et rustique? C’est dans cet élevage que s’est lancée cette année Edith Armange, jeune agricultrice de Brûlon installée avec son conjoint Davy Gremont sur 150 hectares dont 60 de cultures. « Quand je l’ai rejoint en 2020 après six ans dans le secteur porcin, nous avons supprimé l’élevage laitier de notre prédécesseur Jean-Claude Lechat et on a tout transformé pour accueillir 120 mères Limousines. Et cette année, un ex-bâtiment de poulets est consacré aux chapons de pintade. » 5 000 poussins sont arrivés au Gaec du Ronceray début juillet et environ 4 000 en sont repartis chaponnés mercredi 13 décembre, soit 160 jours d’élevage.