Porc
Sarah, la fée cochette
Eleveuse de cochettes en quarantaine, Sarah Girard a ajouté un atout au Gaec de la Chesnaie à la Quinte en travaillant avec une firme génétique danoise, une des plus importantes du monde.
Eleveuse de cochettes en quarantaine, Sarah Girard a ajouté un atout au Gaec de la Chesnaie à la Quinte en travaillant avec une firme génétique danoise, une des plus importantes du monde.

Au Gaec de la Chesnaie à la Quinte, on cultive le pluri-élevage. Depuis 1998, il y a des vaches (45 Prim’Holstein), des poulets de chair (deux bâtiments et un troisième en fin d’année) et un atelier d’intégration de cochettes. L’arrivée de celles-ci, il y a cinq ans, a été impulsée par Sarah Girard, la fille de Jérôme et Marie-Christine, d’abord salariée puis installée en fin d’année 2021. Attirée par l’univers porcin depuis ses plus jeunes années au lycée de la Germinière de Rouillon (malgré deux stages en bovins en Finlande et Autriche), la jeune fille de 24 ans a écarté le système naissage. « J’ai voulu installer une unique structure d’engraissement, supportable par une personne, en prévision de l’avenir. » Dans des bâtiments de 800 m2 (dans la commune voisine de Degré, sur l’ancien site de M.