Journées de la recherche cunicole
Quoi de neuf mon lapin?
Co-organisé par ITAVI (L’Institut technique des filières avicole, cunicole et piscicole), l’INRAE et l’ASFC (Association scientifique française de cuniculture), un colloque de la recherche cunicole a été organisé les 22-23 mars au Palais des congrès et de la culture du Mans. Les chercheurs présents ont notamment évoqué le bien-être animal, lequel dépend pour beaucoup des modes de logements. De quoi offrir des pistes à une filière en souffrance ?
Co-organisé par ITAVI (L’Institut technique des filières avicole, cunicole et piscicole), l’INRAE et l’ASFC (Association scientifique française de cuniculture), un colloque de la recherche cunicole a été organisé les 22-23 mars au Palais des congrès et de la culture du Mans. Les chercheurs présents ont notamment évoqué le bien-être animal, lequel dépend pour beaucoup des modes de logements. De quoi offrir des pistes à une filière en souffrance ?
Le fameux râble à la moutarde du dimanche midi n’a plus la cote... Les attentes sociétales sont également de plus en plus fortes concernant le bien-être animal. Pour faire face à une baisse de la consommation amorcée dans les années 90, un projet nommé “Living Lab Lapin” (“3L”) a placé pendant quatre ans consommateurs, producteurs et acteurs de la filière au coeur des innovations. Il s’est d’ores et déjà avéré que la propre évaluation du BEA n’était pas un… b.a.-ba. Le bien-être du lapin est en effet perçu de manière hétérogène. Faut-il changer l’alimentation, les logements? Plutôt s’interroger sur des questions physiques ou comportementales. Ou bien s’en tenir comme d’autres à la bonne santé d’une production (fertilité, croissance…)? “Les discours varient en fonction des statuts professionnels des personnes enquêtées, souligne Laurence Fortun-Lamothe (INRAE).