Vétérinaire rural
« La médecine rurale me tient à coeur »
Entre deux examens de chat ou de chien, Maxime Drouet (28 ans) est vétérinaire rural, une profession qui se fait de plus en plus rare.
Entre deux examens de chat ou de chien, Maxime Drouet (28 ans) est vétérinaire rural, une profession qui se fait de plus en plus rare.
Qu'est-ce qui t'a aspiré vers ce métier ?
La vocation. Au début, pas forcément sur les animaux de campagne. Mais l'école (ENV Nantes) nous incitait à prendre part à des stages dans le milieu rural et j'ai découvert des gens qui adoraient leur métier. J'ai commencé par travailler trois ans dans l'Orne. Depuis, je travaille au Cabinet vétérinaire d'Ecommoy qui propose des services dans « la canine » et la « rurale ». Les soins de bovins occupent 30 % de mon temps.
C'est plus que la moyenne nationale (17 % de l'activité globale d'un vétérinaire) mais, a contrario, la majorité les vétos ruraux ne font plus que ça. Quel est votre zone d'intervention ?